Chance d'ailleurs, n'est peut-être pas le mot : il y en a si peu dans ces vies de poilus retracées au travers des objets qu'ils ont fignolés
Lexposition Système D, les robinsons des tranchées présente deux cents objets qui tous ont été fabriqués et tous font entorses au règlement issus de collections publiques et privées comparant les bricolages allemands, français et anglais dans le sens que Claude Lévi-Strauss donnait à ce terme "fabriquer ou inventer avec les moyens du bord".
professeurs collectionneurs passionnés par l’artisanat des poilus sont propriétaires d des objets fabriqués à partir de la fusée d’un obus de 75mm Bagues en aluminium Pendentifs en aluminium Encrier Presse-papiers Rond de serviette En bleu: des objets fabriqués à partir d’un éclat d’obus Coupe-papier N PENALVER. D’autres objets, non issus de la ferraille militaire,
Lesmitrailleuses françaises fabriquées à Saint Etienne s’enrayent facilement contrairement à celles des allemands. destiné à être utilisé par les soldats des tranchées contre les nids de mitrailleuse ennemies. Il eut un effet très dévastateur par l'effet surpuissant de sa charge explosive ou dans sa version shrapnel à 32 balles. Les Allemands sans respect des accords
Lingéniosité déployée dans l’artisanat de tranchée est d’autant plus étonnante que les poilus se servent des moyens du bord pour fabriquer ces objets. Afin de ne pas alourdir leur équipement, ils limitent au maximum leurs ustensiles et ont surtout recours aux outils qui composent l’attirail standard du soldat : ils emploient par exemple leur cousette ou leur couteau pour graver
Unede canne de Paul Gauguin. Cette canne se trouve dans les collections du « Metropolitan Museum of Art ». Ce legs d’Adélaïde Milton de Groot en 1967 est enregistré sous le N° 67.187.45a, b. Cette forte canne (4 à 5 cm. d’épaisseur) est monoxyle et
Lesobjets fabriqués par les poilus sont fait à partir de douilles d’obus. Les briquets. Le briquet des poilus, ou briquet de tranchée fut l’une des premières fabrications des soldats sur le front. Les allumettes peu discrètes et moins fiables furent vite remplacées par le briquet à essence facile à fabriquer. Le briquet de poilus
Sousl’impulsion de Cordonnier et de Rehm, des concours d’objets fabriqués sont créés et des services de douches sont ouverts aux poilus. Ce Poilu’s Park devient réputé et son attractivité est relayée tant dans la presse nationale (L’Illustration, Sporting, ) qu’internationale ainsi que dans les journaux de tranchées que le général Cordonnier plébiscite et qualifie de
Dansles tranchées Combattre et tenir . Alors que le régiment français de 1914 ne compte que 6 mitrailleuses lourdes, celui de 1917-1918 en possède 36 auxquelles il faut ajouter des fusils mitrailleurs ou des mitrailleuses légères. Le fusil du poilu n'est plus qu'une arme d'accompagnement. Si vous aimez ce site ne bloquez pas l'affichage des publicités Merci !
Enpremière ligne, on travaillait de petits objets, dégrossis dans les "cagnas" pas trop exposées, et finis ensuite dans les tranchées. C'est en effet le cas des briquets, qui y étaient montés et polis. Rien qu'en voyant les objets, on peut dire, ça, ça vient des ateliers, et ça, ça a été découpé et "fignolé" dans un endroit où
73szg. Accueil Hauts-de-France Hazebrouck Pendant un mois, au musée De Puydt et à la médiathèque, la Grande Guerre sera abordée sous l’angle de l’art des tranchées et de la correspondance de guerre. Zoom sur quelques objets phare. Article réservé aux abonnés Article réservé aux abonnés Pour lire la suite de cet article Abonnez-vous à partir de 1€ à notre offre numérique. Sans engagement de durée. ESSAYER POUR 1€ Vous êtes déjà abonné ou inscrit ? Se connecter L'info en continu 20h49 International Pays-Bas un camion percute une fête de quartier, plusieurs morts 20h35 RC LENS Direct Lens - Rennes le Racing régale encore 2-1 et prend la tête de la Ligue 1 20h07 International Video Serbie et Kosovo concluent un accord pour désamorcer les tensions 19h45 Economie Taxe sur les super profits» Élisabeth Borne ne ferme pas la porte» 19h37 France Climat Élisabeth Borne débloque 1,5 milliard d’euros pour aider les collectivités Toute l'info en continu >
Collection particulière de briquets de poilus. Nous avons découvert cet été une superbe collection de briquets de poilus que nous vous présentons ici. Un hommage à ceux qui se sont battus dans les tranchées en cette journée du 11 novembre… Briquet du front de Vaux, 1918 coll. particulière. Les écrivains partis au front nous ont rapporté des textes qui nous ont permis de nous rendre compte de la cruauté des combats, Des peintres et sculpteurs se sont exprimés, ont témoigné, mais il existe une autre activité artistique. Botte allemande coll. particulière. Les soldats fument et vont faire ce qui est connu comme les briquets des poilus . En effet, ils reçoivent une ration hebdomadaire de tabac brun. Les rations sont de 100g et distribuées dans des paquets de 100 ou 50g. Beaucoup fume la pipe. Les grandes marques comme Job ou Nil feront la promotion de leurs papiers à rouler durant toute la guerre auprès des poilus. Botte vue du dessous coll. particulière. L’atmosphère humide des tranchées, les intempéries rendent les allumettes inutilisables. Le briquet est donc un objet indispensable et fait parti du paquetage. On l’égare et il faut le remplacer… Deux briquets complémentaires, dont un réutilisant un écrou ; ce que l’homme voit par le trou de la serrure… coll. particulière Cette activité prenant de l’essor, elle sera interdite en première ligne, afin de ne pas distraire les soldats de leur mission première, la guerre. Un missel Pour occuper le temps, se défouler, s’évader, mais aussi pour obtenir des cigarettes, de la nourriture, un certain nombre de poilus vont réaliser des briquets à essence, les plus faciles à recharger ou à amadou. Tous les thèmes sont abordés, parfois grivois mais aussi religieux, certains donneront à leur briquet une forme de livre, et même de missel. Tout est question de foi… Ce briquet a été fait dans une montre coll. particulière. Toutes les formes sont utilisées, tous les sujets seront gravés. Ils pourront aussi les échanger. Tout se recycle, se récupère au fur et à mesure de leurs déplacements et sur place dans leur tranchée. Il leur faut récupérer du laiton, du cuivre. Les douilles d’obus, les bouchons de réservoirs, les écrous, les montres, les étuis à cigarettes peuvent faire l’affaire… Les soudures et finitions pourront se faire lors de leurs rares permissions ou dans les ateliers du front. Briquet écrou pour une scène du front, le chien face à un casque allemand. Un autre modèle montre le chien rapportant le casque coll. particulière. Cette activité était aussi conduite à l’arrière. Elle se poursuivra après la guerre et fait que de nombreux briquets dit de poilu n’en sont pas. On peut en découvrir au Musée de la Grande Guerre à Meaux. Gros plan sur une sélection de briquets coll. particulière. reportage photo Dominique Germond. à voir aussi ce qui se chantait durant la guerre. ainsi que les transports parisiens pendant la première guerre mondiale. En région parisiennne à découvrir à Trilbardou, non loin de Meaux, le rôle des canaux parisiens.
Un siècle aujourd’hui … le 4 août 1914 … l’Allemagne envahissait la Belgique ! Art & Artisanat des tranchées – Trench Art & Craft WW1 * 1914-18 Depuis toujours, les militaires ont fabriqué divers objets pour occuper leur convalescence ou les périodes d’inactivité inhérentes à leur vie. Ce travail apparait d’une manière plus significative durant le XIXème siècle et se développera particulièrement lors de la 1ère guerre mondiale. A B C A Canne en malacca et buis – Tête de hussard – ca 1810 B Détail d’une canne de militaire datée 1819. C Canne Art Populaire de militaire – Fin XVIIIème siècle . De petits chefs-d’œuvre nous sont parvenus et parmi ceux-ci, de très beaux objets d’Art Populaire. Mais, dans ce domaine bien particulier, peut-on parler d’Art populaire au même titre que les travaux de pont » des marins 1 ou ceux des bergers ou des herdiers 2 ? Certains le pensent mais je ne suis pas convaincu ! En effet, parmi les soldats, nous retrouvons de très nombreux hommes de métier ou artisans qualifiés. La plupart, vont appliquer les gestes de leur profession d’avant guerre. Dès lors, l’exécution témoigne d’un réel savoir-faire, voire d’une impressionnante maîtrise … ce qui n’enlève rien à la qualité de leurs créations, bien au contraire … mais il ne s’agira, en aucun cas, d’art populaire. 1 Production d’objets divers fabriqués par les marins. 2 Pâtre communal dans le nord-est de la France et en Wallonie. Canne en palissandre incrustée d’argent – Hydravion allemand – Biplan Albatros 1916 Ces incrustations en argent massif sont de très belle qualité. Ce travail est, sans aucun doute, celui d’un homme de métier bien expérimenté … Il ne s’agit donc pas d’un objet art populaire. 1916 – Hydravion Albatros – réf No747 01-Public Domain En effet, les objets qui méritent cette appellation échappent aux règles d’ateliers. L’exécution et la finition peuvent varier sensiblement. Dans certains cas, le travail est fruste, maladroit, naïf …, mais l’inexpérience des auteurs ne les empêche pas d’atteindre régulièrement à la beauté … à la poésie. Comme je l’ai souligné dans un de mes articles consacrés à cet Art, l’une des caractéristiques essentielles de celui-ci, parfois partagée avec les arts premiers, est son ignorance des modes de représentation naturaliste méconnaissance de la perspective, rabattements dans le plan, mépris des proportions ainsi que de nombreux exemples de perspective morale ». Canne monoxyle représentant une grenouille – XIXème siècle. Bel exemple d’Art Populaire avec ses caractéristiques particulières Très jolie canne de herdier » et très bel objet d’Art Populaire avec mépris des proportions ainsi qu’un bel exemple de perspective morale » … le loup est plus grand que le cheval. Le résultat est différent. Le geste du sculpteur est moins précis ; l’interprétation est plus fantaisiste, frôle parfois l’imaginaire et laisse apparaître occasionnellement un trait » de sa culture régionale. L’art populaire existe sans aucun doute dans la production des objets de tranchées mais, certainement, dans une moindre mesure. Définir ce genre n’est pas simple ! … Durant ces deux derniers siècles, les tentatives ont été nombreuses et les avis divergent. Les uns l’apprécient pour sa simplicité, sa naïveté, sa sincérité, pour la force de ses traits rudes et maladroits, son absence de style réel … Les mêmes critères le déprécieront pour d’autres. Les spécialistes et les encyclopédistes laissent subsister de nombreuses questions sans réponse précise. Est-ce l’art du ou d’un peuple ? … Est-ce un art non-savant ? … Est-ce l’art des non-artistes ? … Personnellement, j’apprécie ce travail populaire lorsqu’il présente une quasi-absence de formation artistique. L’aspect mercantile Les objets répétitifs produits en nombre dans un but mercantile ne méritent pas l’appellation Art Populaire ». Les précédents ne manquent pas, comme les objets forêt noire » ou les santons de Provence » qui ont cessé d’être des œuvres d’art pour devenir des productions artisanales, des bibelots touristiques ». C’est un glissement que l’on rencontre également dans les arts premiers, où telle statuaire traditionnelle s’est muée au fil du temps en monnaie d’échange, perdant sa vocation première et aussi, malheureusement, l’essentiel de ses qualités esthétiques … Cet aspect mercantile ne peut être nié … de nombreux documents en attestent. A. Galland-les Blessés au travail-1914 – Library of Congress – USA André Fournier_- Affiche_expo Art pendant la_guerre_- Lausanne_1917 Bibliothèque de documentations internationales contemporaines. Henri Dangon, – Affiche Salon_des_armées » 1916 – Library of Congress – Prints and Photographs Division Washington, 20540 USA Artisanat de tranchées – Poilus au travail _ Guerre de 1914-18 – André Fournier 1916 – Bibliothèque de documentations internationales contemporaines L’hebdomadaire Le Pays de France », parmi d’autres, organise à cette époque un concours du plus bel objet d’artisanat de tranchée intitulé L’art à la guerre » et des expositions-ventes, présentant le travail des soldats, sont organisées dès l’automne 1915. Quoi qu’il en soit, les poilus » vont fabriquer une quantité d’objets dans des matières très diverses trouvées sur place. Le métal et le bois seront les matériaux de prédilection Cuivre et laiton, aluminium, fer, … provenant des projectiles, de l’équipement individuel, … ils utiliseront aussi, tissus, papier, cuir et végétaux, mie de pain, … A B C D Les 4 objets ci dessus proviennent du site – A découvrir. A. Bateau réalisé à partir de pain de guerre souvenir de 1914-1915 pain de la guerre longueur 22cm B. Peigne a poux réalisé en aluminium gravé campagne 1914-1917 C. Statuette en terre cuite représentant un poilu sculptant une canne avec un serpent _ camp de ZEITENLIK 1917 Pennen D. Pot à tabac en aluminium fait au bois La Mine avril 1916 TARCHER B. Presse-papier Paris-Musée de l’Armée – Dist. RMN-Grand Palais – Emile Cambier Ils vont dessiner, peindre, sculpter, graver, incruster, assembler une foule d’objets détournés de leur fonction première … Poilu déssiné par E. Terraire sapeur 275° d’Inf. Cie Hors-rang – © Dessin de poilu sur un support identifié comme étant du papier peint faux marbre » assez courant à l’époque Casque peint – Artisanat de tranchée – Trench art – National World War I Museum – Kansas City, MO – DSC07640 * L’amateur de militatria » ou de telle ou telle période marquée par une guerre sera ravi de collectionner tous les objets issus de cet évènement particulier. Si vous êtes un amateur d’Art Populaire … à vous de faire la part des choses. * Parmi tous ces objets, c’est la canne qui m’intéresse … je ne vous apprends rien. C’est un objet plus personnel que le poilu » va s’efforcer de conserver. Elle est nécessaire au soldat qui doit effectuer de longues marches dans des conditions difficiles. Pire, circuler dans les tranchées boueuses et peu aménagées tient de l’exploit … Il ne s’en sépare donc pas. Conditions déplorables du déplacement des poilus – 1914-18 Sources La fabrication des cannes et bâtons que vous allez découvrir est lente. Comme dans un carnet de voyage, le soldat va y inscrire des détails plus personnels, durant des semaines et des mois, des années matricule, dates commémoratives, feuilles de chêne et glands, la représentation d’une épouse ou d’une fiancée, lieu d’emprisonnement, liste des batailles effectuées, de nombreux symboles lierre, serpent, grenade, trèfle, … Détails de cannes de poilus 14-18 … Certaines en sont couvertes. * Plus rares, d’autres deviennent des reliquaires contenant des parties osseuses récupérées après une intervention chirurgicale os, cheveux, … Canne reliquaire – Le fémur du soldat a servi à la fabrication du pommeau. L’intérieur de la corolle d’où sort la partie osseuse porte les couleurs bleu-blanc-rouge » Le fût est taillé avec des départs de branches sur lesquels un serpent s’agrippe. Canne reliquaire de poilu – Diverses médailles et pièces métalliques travaillées agrémentent la composition Au centre et à travers le fût, une cavité a été pratiquée. dans laquelle une partie osseuse a été fixée. Belgique – WW1 – 1914/18 Une autre variante de canne reliquaire provenant de la région de Mons et datée 1914 * Les cannes de poilus sont nombreuses … Beaucoup se ressemblent mais l’interprétation, la facture, l’originalité, …, serviront de critères à votre choix. Durant cette année commémorative 2014, au fil des jours qui passent, j’additionnerai de nombreux exemples et vous ferai découvrir un large échantillon de cette production. Je m’efforcerai, au fur et à mesure, d’analyser chacune d’entre elles. Revenez donc régulièrement sur cette page pour les découvrir. * Abonnez-vous à la Newsletter » En haut de page … Colonne de droite Newsletter » * Le serpent Très bel exemplaire de canne de poilu – Le serpent est l’un des symboles les plus utilisés en ce domaine. . D’innombrables cannes de ce genre existent dans des factures différentes. Dans ce cas, la sculpture est à très hauts reliefs et de belle qualité. Un joli décrochement de la tête du serpent sert de poignée. Cette canne porte les inscriptions … Souvenir de France – Campagne 1918 » … deux sabres entrecroisés figurent entre Campagne » et 1918 ». Une douille en laiton et une pointe en fer partie de clou ont servi de férule embout Technique sculpture et pyrogravure. Hauteur totale 96 cm. * La grenade Canne de poilu monoxyle avec un pommeau en équerre ayant la forme d’un bras et d’une main brandissant une grenade. Le fût est lisse et ne porte qu’une inscription Verdun 1917 ». Sujet original, simple mais de belle facture un peu naïve. – Technique sculpture – Bois houx ? – Embout inexistant. – Hauteur totale 94 cm. Verdun … l’apocalypse ! 1916 … Verdun fut la plus longue et l’une des batailles les plus dévastatrices de la 1ère Guerre mondiale et de l’histoire de la guerre. Verdun apparaît aussi comme l’une des batailles les plus inhumaines auxquelles l’homme se soit livré. L’artillerie causera 80 % des pertes. Le rôle des hommes consiste surtout d’y survivre ou d’y mourir dans les pires conditions sur un terrain devenu en enfer. * Laurus nobilis Bois de La Reine 1916 … un autre souvenir de la région de Verdun et celui-ci est de 1916 … la terrible année. Bois de La Reine – 1916 » c’est la seule inscription qui figure sur cette jolie canne monoxyle. Une main tient une branche de laurier … Laurus nobilis … symbole de la victoire … cette canne appartenait sans doute à un des rares rescapés de cette période infernale. Hauteur totale 86 cm Bois sculpté Trace de férule embout manquante. * La main Cette canne est assez particulière … En effet, nous retrouvons le serpent, le chien, une grenouille relativement récurrente, une main. Jusqu’ici, les symboles sont classiques … S’y ajoutent, une femme dénudée et une inscription Souvenir du Poilu » sans aucun apport supplémentaire lié au propriétaire ! L’ensemble est polychromé … ce qui est inhabituel. Parfois, certaines parties le sont mais les rehauts de couleurs sont en général limités à de petits éléments drapeaux, insignes, certaines annotations, … … rien de plus. Bien évidemment, sur le front, le poilu ne disposait pas facilement d’un ensemble de couleurs différentes. Je suis persuadé que cette canne est le travail d’un soldat en convalescence, produite dans le cadre des expositions, salons ou concours et destinée à la vente au profit des Oeuvres de Guerre. — En somme, un souvenir de poilu — Voici quelques détails Technique Bois monoxyle sculpté et polychromé Bois charme ? Embout inexistant Hauteur 93 cm * Le cochon qui pleure Canne de poilu – Forêt de Chapenoux – Lorraine – 1916 Sujet original et peu fréquent pour une canne … un cochon en pleur avec un casque à pointe … 2 larmes s’échappent des yeux Seul le pommeau est travaillé et porte à l’arrière de cette caricature le monogramme ». Le fût lisse est orné d’un phylactère discret renfermant les inscriptions Foret de Champenoux – Lorraine – 1916 ». Cette canne aurait appartenu ? à Léopold Retailleau 1892-1918 Bois dense et lourd non identifié Technique sculpture Férule embout inexistant Hauteur totale 95 cm. * Articles connexes cliquez H WW1 – Bâton de guerre – Arme improvisée – 14-18 *