ServiceproposĂ© par. Il Ă©tait une fois dans l'Oued. De Djamel Bensalah. Avec Julien Courbey , Sid Ahmed Agoumi , David Saracino. En 1988, alors que tout le monde rĂȘvait d'aller faire fortune en Noussommes pleinement maintenant dans le vrai Marathon des Sables. Un sable mou, infini, volatile, colorĂ©, moelleux, et pourtant si redoutĂ©. 12 km d’initiation. Et s’il n’y avait que le sable. Mais voilĂ  que le vent se met Ă©galement Ă  vouloir sa part, et de face en plus. Quasiment une tempĂȘte. Je redoute le moment oĂč il faudrait sortir la boussole, car je ne m’en suis jamais Retrouveztoutes les infos sur le film Il Ă©tait une fois dans l'Oued sorti en 2005 - Synopsis, casting du film; notes et critiques des membres. avec CrĂ©er un compte | Se connecter Films. En VOD. Sur Netflix. Sur Primevideo. Sur Disney+. Sur Apple Tv. Sur Mubi. Trouver des films . Films populaires Massacred'Oued Zem, au Maroc en 1955.. 20 aoĂ»t 1955.massacre d'oued zem, au maroc. le deuxiĂšme anniversaire du renversement du sultan mohammed ben youssef est marquĂ© par une rĂ©volte au maroc. des mas le genre est mis en avant sur Veedz. Tu es un fan de cinĂ©ma ? si la rĂ©ponse est oui, sache que veedz est une adresse qui Loued en est avare. C'est un oued, mamma. Oued du Sahara. Oued brĂ©silien. C etait c etait le paradis. Parce que d'Ă©tait lui, parce que c'Ă©tait moi. A foi IlĂ©tait une fois dans l'oued. En 1988, alors que tout le monde rĂȘvait d'aller faire fortune en AmĂ©rique, Johnny Leclerc, lui, ne rĂȘvait que de devenir petit Ă©picier en AlgĂ©rie. Voici l'histoire de sa rĂ©ussite ! Description Kerbala (Irak) (AFP) - Les secours ont retrouvĂ© lundi soir le corps d'une huitiĂšme personne dans les dĂ©combres d'un sanctuaire chiite du centre de l'Irak, dont une partie s'est effondrĂ©e aprĂšs un Ă©boulement CrĂ©ezen un immĂ©diatement ! RĂ©cupĂ©rer le mot de passe. Email : Valider. Poster sujet; Photos; Petites annonces; IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUED. GĂ©nĂ©ral PubliĂ©le 18 octobre 2005 Ă  18h54. Il Ă©tait une fois dans l’oued, le dernier film de Djamel Bensalah, raconte l’histoire d’un jeune Français qui se IlĂ©tait une fois dans l'ouest en Streaming. Informations - SociĂ©tĂ© française. Retour sur l'histoire violente et tourmentĂ©e du dĂ©partement des Hauts-de-Seine, Ă  l'ouest de Paris, un territoire convoitĂ© par des politiciens de tous bords. HHMqM. Voir la vidĂ©o en plus grand. Le Djebel Saghro kĂ©sako ? Le Djebel Saghro, au Maroc, est l’extrĂ©mitĂ© Est de l’Anti-Atlas ; entre au nord la longue chaĂźne enneigĂ©e du Haut Atlas bordĂ©e par la vallĂ©e du DadĂšs et au sud le dĂ©sert. C’est un massif rocheux et aride qui culmine Ă  plus de 2700 m d’altitude. En berbĂšre tamazigh saghro » signifie sĂ©cheresse. Dimanche 25 janvier Rendez-vous Ă  l’aĂ©roport de Saint-ExupĂ©ry ; il fait Ă  peine 2°C avec un vent glacĂ©. Mais, magie du voyage en avion, en un coup d’aile, nous voici Ă  Marrakech. Il fait soleil et 18°C, quel contraste ! Au loin les cimes enneigĂ©es du Haut-Atlas nous rappellent que nous sommes cependant bien en hiver. Avec HCE pas de temps mort une partie de l’équipe berbĂšre nous attend, on embarque le matĂ©riel et les passagers dans deux minibus et c’est parti pour une traversĂ©e Nord-Sud express de l’Atlas. Direction Ourzazate puis le Djebel Saghro dans la foulĂ©e. On s’arrĂȘte pour dĂźner juste avant le col de Tizi-N-Tichka. Le restaurant est pittoresque avec la boucherie en plein air et la fabrication de tajines en sĂ©rie. Puis on reprend la route mieux vaut avoir le cƓur bien accrochĂ© dans les virages jusqu’au bivouac. Il est minuit, on s’installe sous le ciel Ă©toilĂ©. Lundi 26 janvier AprĂšs le transfert de la veille, grasse matinĂ©e et petite rando en boucle pour se rĂŽder avant le dĂ©part en trek. NouveautĂ© des tables et des chaises pliantes font dĂ©sormais partie du matĂ©riel de camping. Au Nord, les cimes enneigĂ©es du Haut-Atlas barrent l’horizon. Laquelle est le M’Goun ? Du 27 janvier au 6 fĂ©vrier le trek Cette fois c’est parti pour le trek itinĂ©rant. Mais au fait, ça se passe comment une journĂ©e de trek berbĂšre ? Les premiers levĂ©s sont les cuisiniers. DĂšs 6 heures du matin ça s’active du cĂŽtĂ© de la tente cuisine. C’est qu’il y a trente personnes Ă  nourrir ! Mais pour le reste de l’équipe, la journĂ©e ne commence guĂšre avant l’arrivĂ©e du soleil. La nuit a Ă©tĂ© fraĂźche aux alentours de zĂ©ro et il est difficile de sortir du duvet sans espĂ©rer se chauffer au moins un peu au soleil. DĂšs que celui-ci montre son nez, chacun s’active pour replier son bivouac. Le camp se dĂ©monte peu Ă  peu. Le petit dĂ©jeuner est installĂ© en terrasse » aux premiers rayons du soleil. ThĂ©, cafĂ©, chocolat, confiture, crĂȘpes, pain
 ou huile d’olive et fromage, il y en a pour tous les goĂ»ts. Il faut bien prendre de l’énergie pour l’étape du jour. Puis quand tout le monde a dĂ©jeunĂ©, les joĂ«lettes se prĂ©parent. Pendant qu’on installe les passagers, l’équipe berbĂšre fini de plier le camp, fait la vaisselle et charge les mules. Enfin la caravane des joĂ«lettes s’élance. Les mules partiront un peu plus tard mais rattraperont le reste de la troupe en milieu de matinĂ©e. Quand le sentier est Ă©troit, on s’arrĂȘte pour les laisser passer. Pas question pour les joĂ«lettes de suivre leur train d’enfer. AprĂšs deux ou trois heures de marche, pause graines » pour redonner de l’énergie au groupe dattes, cacahuĂštes et petit morceaux de gĂąteaux secs. De quoi tenir jusqu’au pique-nique. On repart ensuite pour une heure ou deux jusqu’à la pause de la mi-journĂ©e. L’endroit est facile Ă  repĂ©rer le cuisinier et ses aides se sont installĂ©s prĂšs d’un point d’eau et il y a deux mules au parking. A peine arrivĂ©s, le thĂ© Ă  la menthe est servi. C’est le moment de profiter du soleil ou d’aller faire trempette dans l’oued en attendant le repas. Un oued ou wadi empruntĂ© Ă  l’arabe ouadi, vallĂ©e, lit de riviĂšre, riviĂšre », est un cours d’eau d’Afrique du Nord et des rĂ©gions semi-dĂ©sertiques Ă  rĂ©gime hydrologique trĂšs irrĂ©gulier. Ça c’est la dĂ©finition du dictionnaire, mais pour les joĂ«lettes, oued est synonyme de galĂšre. On y trouve au choix du sable – doux sous le pied – mais dans lequel la joĂ«lette laboure, c’est vite Ă©puisant ; des galets, encore pire, non seulement ça ne roule pas sauf sous les pieds mais en plus ça tape dur pour le passager. TroisiĂšme variante le lit rocheux creux et bosses garantis ! Mais parfois aussi, l’oued apporte de l’eau et un bosquet de palmiers Ă  l’ombre bienfaisante. AprĂšs le repas, une petite sieste pour laisser passer le soleil au zĂ©nith, il est temps de repartir, l’étape n’est pas encore finie et en hiver le soleil baisse vite. Car, bien que l’on randonne en tee-shirt, nous sommes bel et bien en hiver. Enfin l’objectif est en vue le campement avec les tentes berbĂšres est dĂ©jĂ  montĂ©. A peine arrivĂ©s un nouveau thĂ© Ă  la menthe nous accueille. Les amateurs de nuit Ă  le belle Ă©toile s’empressent de rĂ©server leur emplacement c’est plus facile de trouver un endroit plat quand il fait jour qu’à la lueur de sa frontale et les meilleurs spots » sont vite squattĂ©s. Les plus motivĂ©s profitent des derniers rayons de soleil et du point d’eau pour faire rapidement un brin de toilette. Car dĂšs que le camp passe Ă  l’ombre vers 17h30 la doudoune remplace illico le tee-shirt. S’il y a du vent, on se rĂ©fugie sous la tente berbĂšre en attendant le souper. Discussions, lecture, soins de petits bobos. Les plus Ă©nergiques se risquent parfois Ă  une balade aux environs histoire de grappiller quelques rayons de soleil supplĂ©mentaires du haut d’une colline. Puis vient l’heure de la soupe askif » en berbĂšre, tout le monde se retrouve sous la double tente berbĂšre pour le repas du soir. Encore une fois les cuisiniers se sont surpassĂ©s tajine, couscous voire mĂȘme frites. Tout est possible dans un trek berbĂšre ! AprĂšs un dernier thĂ© ou une verveine Luisa » en berbĂšre c’est l’heure de la veillĂ©e Ă  la lueur des bougies. Mais rapidement le froid et la fatigue de la journĂ©e nous pousse vers notre duvet. Bonne nuit ! De l’Atlas au Far West L’itinĂ©raire du trek nous permet de dĂ©couvrir une Ă©tonnante palette de paysages. Au nord, l’environnement et dominĂ© par la chaĂźne de l’Atlas. On chemine Ă  travers des plateaux caillouteux entrecoupĂ©s de profondes vallĂ©es taillĂ©es par des oueds. En arrivant sur Igli on change de continent est-ce l’Australie façon Ayers Rock ou bien la VallĂ©e de la Mort avec les monolithes de Bab-N-Ali ? Le contraste se retrouve aussi au niveau des tempĂ©ratures. Notre pĂ©riple vers le versant sud du massif pousse jusqu’à une large cuvette avant de remonter vers le village de Saka. Avec la faible altitude et le temps au beau fixe, il fait 31°C en plein midi. Dire que nous sommes fin janvier ! On cherche l’ombre dans les jardins et sous les maigres palmiers en bordure de l’oued. Les jours suivants, le temps se couvre lĂ©gĂšrement. Avec le vent et l’altitude, on ressort la polaire sans hĂ©siter mĂȘme en pleine journĂ©e, et il peut faire jusqu’à -5°C la nuit Ă  la lueur de la pleine lune. Le trajet nous ramĂšne ensuite Ă  la vallĂ©e du DadĂšs vallĂ©e des Roses. Au pied de l’Atlas, les nomades font paĂźtre leurs dromadaires avec les sommets enneigĂ©s en toile de fond. Le pĂ©riple se termine par une journĂ©e tranquille le long du DadĂšs ce qui permet quelques rencontres avec les habitants. Et bien plus encore Et je ne vous ai pas racontĂ© les petits vendeurs immobiles au bord du sentier mais qu’on peut croiser plusieurs fois dans la mĂȘme journĂ©e eh oui, eux ils connaissent les raccourcis !, les amandiers en fleurs, le camĂ©lĂ©on, le concours de corde Ă  sauter, le souk et la pĂątisserie de Ourzazate, l’anniversaire de RenĂ©, l’équipe berbĂšre au top
 La prochaine fois ce sera Ă  votre tour d’aller dĂ©couvrir le Djebel Saghro ! - Denis SpĂ©ciale dĂ©dicace pour RenĂ© sur l’air de "L’Auvergnat" de Brassens, Ă©videmment, paroles de Cath et Joce. Elle est Ă  toi cette chanson Toi l'auvergnat qui sans façon Nous a donnĂ© un coup de main En rando chez les marocains Ce n'Ă©tait rien qu'un coup de main Mais chaque instant toujours plus fort Tu as soulagĂ© nos efforts A la maniĂšre d'un magicien Elle est Ă  toi cette chanson Toi l'trĂ©sorier qui sans façon A bien veillĂ© sur notre pognon Pour tous partir oĂč il fait bon Ce n'Ă©tait rien qu'un peu d'gestion Mais pour nos yeux que de merveilles Bon moments et rires Ă  foison A la maniĂšre d'un grand soleil Elle est Ă  toi cette chanson Toi l'intendant qui sans façon Nous a fait des mets succulents Comblant nos appĂ©tits gourmands Ce n'Ă©tait rien qu'une tarte aux pommes Cuite sur le gaz aprĂšs la tomme Mais dans corps ça brĂ»le encore A la maniĂšre d'un grand magnum Toi cher RenĂ© tant qu'tu vivras Et qu'HCE existera Avec les machines Ă  JoĂ«l Ô joie Ă©ternelle ! J’allais voir ce film pas vraiment convaincu que ce serait une rĂ©ussite, mais conquis par une bande-annonce assez dĂ©sopilante et un ton qui me plaisait. Et puis, Djamel Bensalah seulement 29 ans ! Ă©tait aussi le rĂ©alisateur de Le Ciel, les oiseaux et
 ta mĂšre ! » qui avait beaucoup de charme, et encore une fois un ton qui m’avait plu. Je n’ai pas Ă©tĂ© déçu, il s’agit d’une bonne comĂ©die dans son genre, un truc pas gĂ©nialissime mais vraiment drĂŽle Ă  certains moments, et surtout bourrĂ© de tendresses. En effet, Djamel Bensalah se moque des reubeux mais avec beaucoup de douce ironie, d’affection et de considĂ©ration. Et du coup, le rire peut se faire franc et sans ambages quand il caricature le retour estival au pays l’AlgĂ©rie, avec tout son lot d’expressions arabes irrĂ©sistibles, de frigos sur les toits de bagnoles, de congratulations, effusions et youyous familiaux. L’histoire en elle-mĂȘme est assez croquignolette puisqu’il s’agit d’un jeune gars de la citĂ©, Johnny, dont tout le monde se fout un peu, et qui se prend pour un arabe alors qu’il est de parents beaufissimes, et bien blancs. Mais il fait sa priĂšre et le ramadan, et va mĂȘme jusqu’à infiltrer le frigo des parents de son meilleur pote pour aller en vacances avec eux en AlgĂ©rie. Son pote qui devait rester en France vient avec eux finalement car il a des problĂšmes avec un sale mec de la citĂ©, et qu’il craint pour sa sĂ©curitĂ©. [Ovulation] Ce mec David Saracino, Yacine dans le film, est terriblement beau. Mais alors un putain de beau gosse
 arrrrrggggh ! [/Ovulation] La confrontation de Johnny avec les algĂ©rois donne lieu Ă  de frĂ©quentes saynĂštes trĂšs marrantes mĂȘme si un peu rĂ©pĂ©titives. Tout comme le jeu de Julien Courbey d’ailleurs qui s’essouffle vite malgrĂ© sa bonne humeur et son entrain. Heureusement, quelques intrigues secondaires viennent donner un peu plus d’oxygĂšne au film, comme l’histoire d’amour contrariĂ©e entre Yacine et une superbe petite minette. J’ai beaucoup aimĂ© Sid Ahmed Agoumi qui joue le pĂšre, il est trĂšs drĂŽle et porte son rĂŽle avec plus de talent que les autres. Les images d’Oran et surtout celles d’Alger m’ont donnĂ© une impĂ©rieuse envie d’aller au moins une fois dans ce pays de mes ancĂȘtres. Ca a l’air tellement beau et hallucinant. Ce n’est pas un chef-d’oeuvre mais un petit film drolatique et charmant. On passe un bon moment, et Djamel Bensalah a ce talent unique de rĂ©ussir Ă  faire des films qui, sans cacher la rĂ©alitĂ©, dĂ©peignent une situation actuelle racaille, citĂ©, mariages arrangĂ©s, intĂ©gration, immigration, perte des racines mais sans passer par l’imagerie classique de violence et de dĂ©shumanisation, et tout en rĂ©ussissant Ă  en tirer de la comĂ©die, du rire, des Ă©motions et au final un peu d’espoir. 0 GrĂące Ă  ses paysages, cette Russie paysanne, pourtant pas si Ă©loignĂ©e de Moscou, est Ă  la fois Ă©tonnante et fascinante...Quatre saisons en pleine campagne russe. Anna est une femme de paysan qui cache un secret un amour adultĂšre avec un homme de son village... La rĂ©vĂ©lation de leur liaison va avoir bien des consĂ©quences...1 min avant2 min aprĂšsLes avis sens critiqueLes + de filmo1 min avantJe vous emmĂšne en Russie aujourd’hui mais attention pas celle de Tsars, du Bolchoi, de Vladimir P ou du caviar. Non, vous allez dĂ©couvrir un petit village situĂ© loin de Moscou. Une bourgade trĂšs calme en apparence mais qui cache aussi des passions et des secrets. Bienvenue Ă  Troubtchevsk, commune rurale dans laquelle vit Anna, mĂšre et Ă©pouse qui, chaque semaine, prend le bus pour aller vendre des pulls et amĂ©liorer l’ordinaire de la famille. Sauf qu’Anna descend du bus avant d’arriver Ă  destination et attend en fait son amant, chauffeur routier
 La rĂ©vĂ©lation de leur liaison va semer le trouble dans cette communautĂ© jusqu’ici si tranquille
 La rĂ©alisatrice Larissa Sadilova signe avec Il Ă©tait une fois dans l’Est une chronique tendre et sensuelle qui Ă©gratigne avec bonheur l’image de la famille, vĂ©ritable institution en Russie. Sur une forme parfois proche du documentaire, son film montre aussi une sociĂ©tĂ© Ă©prise de libertĂ© et parfois prĂȘte Ă  tout pour s’en autoriser le simple goĂ»t
 Dans le mĂȘme genre vous pouvez trouver LA FEMME DU BOULANGER Quand la rĂ©vĂ©lation d'une liaison extraconjugale est rĂ©vĂ©lĂ©e au grand jour, les consĂ©quences pour ceux qui la vivent sont immenses, surtout dans des petits villages... ou encore ANNA KARENINE L'adultĂšre Ă  la russe, vu par le prisme de deux sociĂ©tĂ©s trĂšs diffĂ©rentes les paysans et l'aristocratie....